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Si quelqu'un vous frappe sur la joue gauche, il n'est pas nécessaire de supplier pour obtenir de la clémence. Fait intéressant, selon la Maison Blanche, plus de 50 pays ont fait exactement cela. Mais pas la Chine. La Chine est beaucoup trop fière pour demander aux États-Unis un allègement des tarifs douaniers. Elle peut se débrouiller seule. Des mesures de rétorsion sont déjà en place, et les marchés bourdonnent de plus en plus de discussions sur la dévaluation du yuan—faisant osciller le cours EUR/USD.
Beijing a imposé des tarifs de 34 % sur les importations américaines et a restreint les exportations de métaux rares. Selon des sources de Bloomberg, le gouvernement discute de moyens pour soutenir son économie, cible des tarifs américains. Les mesures proposées visent à stimuler la consommation, encourager le taux de natalité, subventionner certains secteurs d'exportation et créer un fonds de stabilisation boursière.
Cependant, ces mesures ont peu de chances de dissiper les craintes des investisseurs. Sur le marché des changes, on parle de plus en plus d'une dépréciation du yuan pour rendre les exportations chinoises moins chères. Bien que Mizuho Financial Group prévoie une baisse de 3 % du yuan face au dollar américain, Wells Fargo prévoit une baisse de 15 %, et Jefferies projette une dévaluation pouvant aller jusqu'à 30 %. Plus la dévaluation sera importante, plus il est probable que d'autres pays—y compris l'Europe—suivent le mouvement. Ces anticipations font baisser la valeur de l’EUR/USD, le poussant vers le territoire négatif.
Ensuite, l'euro rebondit fortement, soutenu par une diminution de la confiance des investisseurs dans le dollar américain et par l'augmentation des attentes d'une expansion monétaire significative de la part de la Fed. Les marchés de dérivés ne croient pas aux déclarations de Jerome Powell affirmant que la Fed n'a pas de raisons de se précipiter. Ils n'ont que légèrement réduit le nombre de baisses de taux attendues—de cinq à quatre.
Parfois, il semble que le marché ait abandonné tout comportement rationnel. Le sentiment des investisseurs paraît dominé par les décisions erratiques de Donald Trump. Le Républicain a exhorté Powell à "arrêter de jouer à des jeux politiques" et à réduire les taux d'intérêt. Ses commentaires ont eu plus d'impact sur l'EUR/USD que les déclarations prudentes de Powell.
Les marchés sont en difficulté, et les investisseurs ne savent plus à quel saint se vouer, entraînant des fluctuations volatiles dans la principale paire de devises. L'EUR/USD est de plus en plus influencé par la géographie. Pendant la session européenne, la baisse des indices boursiers en zone euro a pesé sur l'euro. Ensuite, la session américaine entre en jeu, et le S&P 500 plonge, exerçant une pression sur le dollar.
Techniquement, sur le graphique journalier de l'EUR/USD, la bataille pour la limite supérieure de la fourchette de juste valeur (1,076–1,100) se poursuit. Ce niveau a été plusieurs fois contrôlé tour à tour par les investisseurs haussiers et baissiers. Les traders pourraient adopter la stratégie du coyote : attendre et voir quel lion perd, puis se ranger du côté du gagnant. Un mouvement soutenu au-dessus de 1,100 $ est un signal d'achat—et vice versa.
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